Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
17 mai 2011 2 17 /05 /mai /2011 17:28

Quand allons-nous enfin grandir ?

Je nous vois comme des enfants de 2 ans, au sol, trépignant, geignant, hurlant afin d'être vus, entendus. JE VEUX QUE L'ON FASSE ATTENTION A MOI MOI MOI MOI ! JE VEUX !

Nous nous disons, croyons adultes. Nous n'en sommes encore qu'à ce petit âge de la vie.

Croyant que l'amour se résume à ce que me doit l'autre. J'en entends d'ici, surtout des femmes, mais je n'attends rien … C'est gratuit et puis c'est ma nature. Il se pourrait bien que ce que nous nommons nature soit de la culture tellement enracinée qu'elle s'est installée dans nos habitudes de vie. Réflexes !

Et si nous manquions profondément de jugeote nous les femmes ?

Conditionnées de bien avant notre petite existence à être attentives à l'autre. LE CARE ! ! ! ! ! ! !

Conditionnées à l'amour attachant, prenant en otage :

amies ( oh ! Toi ma confidente adorée jusqu'au jour où tu décevras ce que surtout je n'attendais pas de toi )

mari ( oh toi mon prince aimé jusqu'au jour où tu descendras du piédestal sur lequel tout seule je t'avais mis. Pas à la hauteur de mes rêves ! ! !)

enfants ( miroir oh ! Beau miroir dis-moi que je suis la meilleure, la plus jolie, la plus aimante … que je te suis indispensable. . . je t'aime jusqu'au jour où miroir oh ! beau miroir aux dents longues est amer. Mais quelle ingratitude ! Non non je vous jure madame, je n'attendais rien en retour ! )

père, mère, frère, sœur ( On dit bien parents A VIE ! N'est-ce pas ? Attachés à vie alors ?)

 

Croyant plus dur que du fer que l'amour c'est cela. Je t'aime à condition que tu combles mes attentes explicites et implicites. Implicites ? Même pour celui chez qui elles logent.

Nous manquons d'intelligence ou quoi ?

 

Il semblerait qu'une illusion d'aimer se véhicule de générations en générations. Il semblerait que nous n'osions pas regarder autrement cette soit-disant histoire d'amour. Malgré pléthores d'études psychologiques, psychanalytiques, philosophiques, éducatives, malgré tant d'attention à cela, malgré tant de méthodes, rien n'a changé. Aucune amélioration sinon une dégradation.

Notre humanité va mal, très mal ! La preuve vivante est l'état de santé de la jeunesse. Constat : ils ne trouvent plus la force, le courage de vivre et ils sont de plus en plus jeunes à en souffrir. C'est un fait ! Alors chacun va se dire c'est ailleurs, moi j'aime mes enfants, il me faut les protéger surtout ! ! ! !.

De qui ?

De quoi ?

De la vie ?

Et dites moi comment ?

Chacun va se dire c'est la société. Mais nous sommes la société ; une plage n'est-elle pas par chaque grain qui la constitue ? Chacun de nous l'engendre et lui donne corps.

 

Nous parlons d'économie locale ! Et bien parlons d'humanité locale !

 

Il nous faut apprendre à aimer autrement ! Nous n'avons plus le choix ! C'est notre responsabilité d'être humain. . Comment pouvons nous espionner notre miroir chaque jour sans être épouvanté, non pas des traces du temps mais de notre manque de discernement. Nous collaborons ! C'est aussi simple que cela.

Une des grandes collaboratrices, innocente à ses yeux et aux yeux du monde est la femme.

En son sein, à ses côtés grandissent les femmes et les hommes de demain.

 

 

 

Comment se prépare-t-on à engendrer l'humanité future ?

 

Un enfant c'est mignon, charmant, câlin. Un petit garçon et sa maman ,une petite fille et son papa une relation si particulière ! On y croit sans y croître, content de soi ! Narcisse ému de lui.

Même le monde gynécologique et obstétrical, essentiellement féminin y participe.

Ne voyez-vous pas, madame, que l'on vous materne, que l'on vous paterne, vous, intelligente par ailleurs. D'ailleurs n'est-il pas affirmé que cette période réactualise l'enfance ?

Ce temps de la vie ou le monde sensoriel est aux aguets, sens et sensibilité exacerbés.

Et si cela avait un sens inconnu de la raison ? Serait-ce un temps d'apprentissage ?

De qui ?

De quoi ?

Comment ?

Nous parlons d'éveil de l'enfant. Et l'éveil des soi-disant grandes personnes ?

Les faits sont là : temps de la vie où on sait pour elle la petite future maman. Elle se doit de manger cela, de dormir de ce côté là, d'être ainsi, de faire cela ou de ne pas le faire. Elle se doit d'attendre examens, consultations pour savoir si tout va bien. N'est-ce pas dans son corps pourtant que tout se passe ? Il s'agit aussi d'apprendre à respirer, la bonne position pour accoucher, à allaiter.

Acceptez, madame, pour votre enfant, c'est naturel, cela va de soi. Souriez c'est le plus beau moment de la vie ! Vous n'êtes ni malade, ni handicapée ! Ça n'est que 9 mois.

Nous manquons d'une intelligence ou quoi ?

Ce temps bouleversant n'est-il que médical, hormonal, que réminiscences ?

 

Savons nous, voyons nous la responsabilité d'initier à son propre savoir cette nouvelle mère nous femmes, médecins, sages-femmes, puéricultrices,auxiliaires de puériculture. A partir de quelle arrogance, de quel besoin affirmons nous : je sais ce qui est bien pour vous et votre enfant.

Serait-elle privée du savoir qui sent et qui sait ? Elle questionnée au corps et au cœur par la vie. Comment peut-elle savoir celle dont le corps porte l'enfant et en accouche ?

Peut-être sait-elle mieux sentir que d'autre, plus proche d'un savoir qui nous est, d'où nous sommes pour l'instant inaccessible.

 

Quel est ce maternage déguisé et pourquoi ?

Aider les autres à qui ça profite ?

Quelles conséquences ?

 

Votre maternité n'est pas celle à laquelle vous étiez préparée ou conditionnée, madame, une autre à découvrir peut- être, à vivre, non dans votre pensée ou celle des autres, mais dans vos tripes … Et les tripes ça ne pense pas ! Ça ne pense pas. . . . Ça vit ! Et ça sait !

Sentiments de culpabilité : consultez madame, libérez vous de l'extrême attention que l'on vous a portée ainsi qu'à votre soi-disant ignorance.

Blessée à cœur. Il y en a tant de ces souffrances secrètes que vous tentez d'oublier, sans succès. Il y a tant de drames invisibles et visibles.

Et les femmes disent merci, massacrent ce que leurs tripes savaient.

Heureusement 'il y a les professionnels, merci merci sans vous qu'aurais-je fait ?

Je me suis sentie si petite, si dépourvue.

Comment faire sans vous ? Et après ?

 

L'intelligence vivante sait, apprenons d'elle alors. .

Fermons un peu nos bouches et nos têtes pour écouter celle interpellée au cœur d'elle-même par la vie.

Encore faut-il qu'elle puisse entendre sa nécessité.

Il y a intimité possible, silence !

 

Oui vraiment il y a une intelligence qui nous fait défaut à laquelle la tête ne comprend rien.

Oui nous collaborons.

Comment calmer cette rage d'aider, de servir, de protéger ?

De la protéger ?

De qui ?

De quoi ?

De nous ?

Comment ?

 

Comment se prépare-t-on à accompagner l'humanité future ?

 

Séjour à la maternité, la bousculade se poursuit et ses règles

Quelle que soit la nuit passée le réveil se fait tôt, le ballet des uns des autres toute la matinée dans la chambre, service oblige !

Quand dormir ?

Scènes nocturnes : bébé pleure, elle n'en peut plus de fatigue. . . Sonnette. . . Mais madame comment allez-vous faire chez vous ?

Comment font-elles les autres ? Mieux, beaucoup mieux c'est certain. Pas douée déjà; mon pauvre petit !

Au matin, l'une : vous devez nourrir votre enfant tous les …. l'autre : non surtout à la demande…

Il faut vous y faire, madame, vous êtes mère, il vous faut combler votre enfant et vous serez comblée. Quelle drôle de mot !

Plus tard : c'est le baby blues madame, vous en avez été informée en cours de préparation.

Un peu plus tard. . . . La psychologue assise au bord du lit : «  Que vous arrive t-il ? « 

Le baby blues est-il commun à la terre entière ?

 

Femmes pédiatres, psychologues, infirmières nous ne savons pas réfléchir ou quoi ?

Rage d'aider, de servir, de materner, d'être en sympathie.

Épuisement d'aider, de servir, d'écouter. C'est selon.

Nous savons pour vous et lui maintenant, comptez sur nous !

Comptez sur nous ! Comptez sur vous ?

Et on s 'offusquera haut et fort dans le bureau : quand même ces jeunes mères nous prennent pour leur bonniche ! Les gens sont de plus en plus exigeants ! Les parents sont de plus en plus irresponsables n'est-ce pas ?

Je vous jure, madame, je n'attends rien !

Cohérent.

Et sa faculté de savoir à elle ? On en fait quoi ?

Et sa faculté de savoir à lui homme de demain ?

Et leur faculté d'apprendre et de savoir ensemble ?

Et votre faculté de savoir à vous ?

Et vos facultés de savoir avec eux ?

Quel savoir ?quelles facultés ?

 

Merci, merci à vous mesdames les professionnelles. Que serais-je sans vous ? Et comment après vous ?

Ne savez-vous pas madame, que celle qui est à même de savoir c'est vous ? Ne voyez-vous pas que l'on vous détourne de vous ? Mais de qui de vous ?

Que lui faut-il à cette «  nouvelle petite maman «  que madame la professionnelle vient d'accoucher, de materner, de ?

Du courage ou de la bêtise pour se fier à elle et à son petit ?

 

 

Que lui faut-il ?

Ah ! C'est vrai ! Sa maman, sa belle maman, sa sœur, sa belle sœur. . . Le maternage ! ! ! ! ! C'est à vie.

Où est l'issue s'il vous plaît ?

Que lui faut-il à cet enfant pour éviter ce piège, victime de la tentative de réussite des uns des autres, du besoin de reconnaissance des uns des autres ? S 'adapter à ce qui est attendu de lui ?

Que lui faut-il à cette maman pour ne pas s'adapter à ce qui est attendu d'elle ?

J'attends de toi, qui attends de moi, qui attends de l'autre.

Comment peut-elle apprendre à compter sur elle ?

Comment peut-il s'appuyer sur elle pour apprendre à compter sur lui ?

Comment peut-elle apprendre à vivre avec qui elle est et non avec celle qu'elle devrait être ?

Comment peut-il à ses cotés apprendre à vivre avec lui et non avec ce qui est attendu de lui ?

Comment ne pas avoir besoin de lui ou qu'il ait besoin d'elle pour vivre ?

Comment naître à soi chacun et ensemble ?

 

Chemin d'apprentissage de l'amour responsable ?

Lequel et comment ?

Serait-ce à travers les il faut , on doit, il faudrait, tu devrais, tu veux tu peux.

A quelle autorité se référer ?

Qui connait le chemin ?

 

 

Petite fille adaptée, anticipant ce qui est attendu d'elle, sans même qu'on le lui dise. L'apprentissage par imitation, apprentissage du : prendre sur soi, se contenir, se taire et surtout sourire, c'est si joli et doux à la fois et puis. . . . fragile.

Ça n'est pourtant pas un manque de courage, peut-être trop de courage justement. S 'appliquer à être celle que les hommes et les femmes ont appris à attendre, attentive aux autres. Une bonne maman, une sur qui on compte au travail, une chez qui l'homme se réfugie, une qui panse les corps et les cœurs, une qui tempère et fait tampon, une devenant malgré elle indispensable et qui finit par le croire.

Récit d'un homme : dans son entreprise il y a un petit chef, aucun homme n'a tenu dans son service …. . seules le femmes sont restées.

S 'adapter insidieusement à ce qui est attendu et l'attendre naturellement de soi.

Depuis longtemps c'est compris tout cela, il ne suffit pas de comprendre pour que cela change.

Ce temps des explications, des justifications, des compréhensions est terminé.

 

«  Je suis celle qui ne veut plus comprendre

Parce que comprendre c'est déjà accepter

Oui je venais pour comprendre

Et j'ai compris que comprendre c'était trahir » Jean-Pierre Siméon Stabat mater furiosa

 

Alors les petits hommes apprennent que la femme est naturellement à leur disposition, qu'ils sont si importants. En contre partie il s'agit d'être un gentil garçon, attentif à la femme, un peu son chevalier, la combler. Maman est si émue de cela,faire aussi bien que papa ou mieux, bien mieux que papa !

Homme du futur, chevalier servant d'une fragile à protéger.

Homme du futur, roi du monde, princesse à ses pieds oblige.

Homme du futur perdu sans maman dulcinée.

Homme du futur frivole, prétentieux, inhibé, tyran c'est selon.

 

Alors les petites femmes apprennent ; Il s'agit d'être jolie, avenante, gentille, serviable avec du caractère s'il vous plaît. Maman est si émue de cela ! Ne dit-on pas qu'habiller un bébé fille est plus rigolo, on se fait plus plaisir, il y a plus de choix . Elle est si mignonne ! femme séductrice de demain. Et puis papa :deux princesses qu'il protège ou qui l'admirent ou le chosifient.

Femme du futur ogresse, séductrice, irascible, acariâtre, enfant, influençable, maltraitée, maltraitante.

Et un tour supplémentaire de manège ! Payant ! ! !

Gagnant gagnant ? Quelle énergie pour si petit, pour tant souffrir et faire souffrir.

 

Hommes et femmes du futur hors d'eux, hors d'un invivable d'eux !

 

Les faits sont là, incontestables. Nous collaborons avec l'invivable.

Quand cesseront nous de tout porter ?

Quand cesseront nous d'oublier, de rêver ?

 

De quelle intelligence sommes nous privées ?

 

Ne savons nous pas que nous sommes porteuses d'un savoir sensitif précieux ?

Et qu'aimer commence là.

 

« La jeune fille et la femme, dans leur actuel développement n'imiteront qu'un temps des professions qui redoublent celles des hommes. Une fois révolus les tâtonnements qui affectent ces périodes de transition, on verra bien que les femmes n'auront donné que dans la foule de ces déguisements( souvent ridicules) et n'en auront changé qu'à seule fin de purifier leur être le plus spécifique des influences déformantes de l'autre sexe. IL a bien fallu que les femmes, chez qui la vie séjourne et habite plus immédiatement, de manière plus féconde et plus confiante, soient devenues, au fond des êtres plus mûrs, plus humains que ne l'est l'homme frivole, que le poids d'aucun fruit de chair n'entraîne sous la surface de la vie, l'homme hâtif et prétentieux,qui sous- estime ce qu'il croit aimer. Cette humanité de la femme, portée à terme à travers souffrances et humiliations, verra le jour lorsqu'elle aura, dans les conditions de sa transformation extérieure, aboli les conventions grevant le strictement féminin. . .  » Rainer Maria Rilke lettres à un jeune poète.  »

 

Des êtres plus mûrs et plus humains ?

L'humanité de la femme ?

Qu'est-ce ?

Comment purifier l'être de la femme des influences déformantes de l'autre sexe ?

Autre sexe engendré en son sein ?

En le pensant ?

Il faudrait. . . nous devrions. . . . Il suffit de le vouloir pour le pouvoir. Nous y croyons encore à ce monde là usé !

En le sentant ?

Mais qu'est-ce que sentir ?

 

«  Ce progrès va modifier l'expérience de l'amour qui actuellement est pleine d'erreur( tout d'abord en s'opposant fortement à la volonté des hommes qui seront dépassés ), la transformera fondamentalement, la convertira …. Un jour la jeune fille existera et la femme, dont le nom ne signifiera plus seulement ce qui s'oppose au masculin mais quelque chose qui vaut par soi, quelque chose qui n'induit pas à penser la moindre complémentarité ni aucune limite, mais seulement une vie et une existence : l'être humain féminin. . . . . . «  Rainer Maria Rilke lettres à un jeune poète.  »

 

Quelque chose qui vaut par soi ?

L'être humain féminin ?

 

Nous femmes du futur d'hier, mère, grand-mère, fille, tante, infirmière, enseignante. . . . responsables de l'humanité de demain allons nous croître ?

Allons nous identifier, nous libérer de l'asservissement au conditionnement féminin ?

 

Les hommes et les femmes de demain pourront-ils compter sur eux et nous ?

Quelle force va porter ce changement ?

La volonté est faillible, chacun le sait.

 

Perspectives.

 

Savons-nous que l'être humain porte en lui un savoir précieux, une intelligence sensitive, palpable et vérifiable ?

Qu'il suffise qu'une personne apprenne à écouter, développer ce qu'elle sent à s'y référer pour que sa libération commence ?

Elle se désentrave progressivement, sans brutalité des « il faut, elle doit, il faudrait, ça devrait, il suffit de vouloir pour pouvoir » et accède alors à un autre pouvoir.

Un nouveau monde s'ouvre à elle où vivent sûreté, autonomie affective, responsabilité et joie simple d'être au monde.

S'affermit et s'affirme en elle ce qui lui est possible ni plus ni moins.

Le sentiment, véritable connaissance, se clarifie. Les choix s'enracinent dans un senti, ressenti.

L'être croit dans une humanité où coexistent proximité de soi, force,courage, audace et joie d'être soi.

Le vide, l' insatisfaction sans nom impossibles à combler s'éloignent.

Le besoin de reconnaissance, la nécessité de se réaliser à tout prix, au détriment de soi et des autres, décroient.

L'humain accordé alors à sa sensibilité grandit en assurance, en fiabilité.

S'ouvre à lui la possibilité d''accepter, de respecter soi et l'autre dans sa singularité.

La différence vécue antérieurement insécurisante devient richesse.

 

L'ouverture à soi et au monde porte ses fruits :

« IL a bien fallu que les femmes, chez qui la vie séjourne et habite plus immédiatement, de manière plus féconde et plus confiante, soient devenues, au fond des êtres plus mûrs, plus humains «  Rainer Maria Rilke

 

Savions nous que cette humanité de la femme et son savoir immédiat nous était aussi proche ?

Avions nous mesurer l'intimité de cette connaissance vivante, sensible ?

Mesurons nous enfin l'étendue des possibles et notre responsabilité ?

Se libérer et les libérer du maternage dévorant, de la dépendance affective, physique, psychologique et intellectuelle.

Ne plus comprendre, ni collaborer !

Ne pas entrer en guerre mais en résistance.

Identifier toutes pensées, tout fonctionnement, tout agissement d'un monde vieux, fatigué souffreteux, maltraitant nourri de notre raison sèche .

Choisir, agir humidifiée d'une raison nourrie de ce qui sent.

Nous éveiller à cette autre intelligence afin non pas de nous libérer des influences de l'autre sexe à qui nous donnons vie mais de nous purifier d'un vieux système de pensée obsolète et maltraitant.

Nous découvrirons peut-être alors ce qu'aimer veut dire ?

 

 

Croyons nous avoir encore le choix ?

Ghislaine Henry-Mourant

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Partager cet article
Repost0

Présentation

  • : L'haptonomie : un art de vivre
  • : L'haptonomie : un véritable art de vivre.La perception, l'éveil des facultés de contact qu'elle dévoile rendent possible un mieux vivre avec soi, les autres et le monde. Son approche ne se limite pas au temps d'attente et d'accueil d'un enfant.
  • Contact

Ghislaine Henry-Mourant

  • ghislainehenrymourant
  • Accompagnante en haptonomie. Formatrice auprès des parents. Certifiée en haptonomie pré et post natale et en haptosynésie par l'Institut Scientifique d'Haptonomie (Pays-Bas) Sage-femme de 1981 à 2008

Archives

Liens